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Ecrit le 2 juillet 2003
Architectes :
nul n’est prophète en son pays !
Depuis le changement de municipalité, en mars 2001, les architectes castelbriantais, coupables d’avoir travaillé avec la municipalité précédente, sont « persona non grata ».
C’est pourquoi il est drôle de lire le dernier bulletin du Conseil Général qui, en page 6, fait l’apologie de l’architecture moderne. Une grande photo du théâtre de Verre annonce l’article, alors même que, du temps de la municipalité de gauche, ce théâtre de Verre était ignoré des instances départementales. Pour un peu on va vous dire que c’est la municipalité actuelle qui l’a construit !
Deux des architectes castelbriantais, le cabinet Haumont-Rattier et le cabinet ménard-Malleret-Mercera sont cités en bonne place sur les 12 retenus. C’est une belle performance !
Il reviendra
à Pâques ... ou à la Trinité
Malborough s’en va en guerre
Miroton, tonton, mirontaine ...
Le projet « Trinité » a été annoncé au Conseil Municipal du 30 septembre 2002 et la réalisation était annoncée dès 2003. Mais ça traîne : nous sommes rendus au début juillet 2003. Depuis 9 mois il n’a pas été possible de déposer une demande de permis de construire ?.
(pour ceux qui ne le sauraient pas, ce qui se construit actuellement à la Trinité c’est la Maison de département, un bâtiment préfabriqué et provisoire puisque la dite-maison se trouvera dans la médiathèque. On s’étonne d’ailleurs de ce que l’architecte des Bâtiments de France ait autorisé la construction d’une maison préfabriquée dans le périmètre de l’église de Béré).
(note du 22 février 2004 : les travaux devraient commencer bientôt)
Quant à la plate-forme de services qui devait exister sur le site de l’ancien hôpital : le sol a été aplani mais aucun projet chiffré n’est encore établi. On ne sait pas ce que sera cette plate-forme, ce qu’il y aura dessus, combien elle coûtera, etc.
La municipalité actuelle est la reine des effets d’annonce. Politiquement elle n’a sans doute pas tort : parler des choses (même sans les faire), c’est déjà faire croire qu’on fait quelque chose !
OOOO
Macabre : tout est bon pour faire sa publicité politique. A Châteaubriant les plus hautes autorités municipales (ou apparentées) viennent aux enterrements, et, si elles ne le peuvent, n’oublient pas de faire envoyer une lettre de l’Assemblée Nationale, cela peut rapporter des voix ! Des voix ? vous dîtes des voix ? Lors d’une récente cérémonie funèbre, deux frères n’ont pas arrêté de causer de leurs petites affaires. Les voisins ont vu et « apprécié ».
Pique-nique : en cette fin de juin 2003, alors que frappe la canicule, les pique-niques impromptus et sans autorisation se succèdent au Parc François Mitterrand. Sans autorisation ! Mazette ! Il va falloir mettre une pancarte d’interdiction et lâcher les chiens !
Glissières : des glissières de sécurité ont été placées dans le virage de la rue Vieille Voie. Ca se voit et ça peut rapporter des voix. Sauf que de ce côté là , aucune voiture n’est jamais tombée en 30 ans, parce que c’est de l’autre côté que, par temps de pluie et de verglas, surtout la nuit, le virage est dangereux quand on descend ! Et là , ya pas d’glissière !
Bowling : + 88 % : ça y est, la ville a trouvé un terrain d’entente pour la sortie de secours du futur bowling : la propriété du n°18 rue du 11 novembre, va être achetée pour 260 000 euros, toutes indemnités comprises (cela représente le prix de trois pavillons ou de deux maisons de standing).
Cela va augmenter considérablement le coût du bowling. Celui-ci était prévu à 877 000 € . En déduisant les subventions espérées, il devait rester 296 000 € à la charge de la ville (cf Conseil Municipal du 30 septembre 2002). L’achat du terrain-issue-de-secours représente donc une augmentation de 88 % du coût ! Vous allez voir qu’à ce prix-là il va être difficile de trouver un gérant et qu’il faudra même lui verser une subvention !
Bien sûr, on pourra toujours faire quelque chose des 1978 m2 acquis, un parking par exemple pour le bowling. Ce serait peut-être bien de prévoir une entrée du bowling de ce côté-là ? Cela permettrait de libérer des places de stationnement sur la place Ernest Bréant dont le nouveau dessin ne semble pas en laisser beaucoup (il en sera question au Conseil Municipal du 2 juillet 2003).
A propos de places de stationnement, avez-vous vu tout ce qui a disparu ? Naguère la moindre suppression aurait attiré des cris d’orfraie, par exemple de Jean Seroux. Les temps changent ...
Heureux ! : Francis Mer, ministre de l’industrie, multiplie les heureux (du moins en paroles). A l’en croire, « le pouvoir d’achat de cinq millions de Français va augmenter le 1er juillet avec la hausse du SMIC ». En fait, la hausse de 5,3 % va concerner seulement un million de personnes (soit 1,5 % des SMICards) mais le ministre estime sans doute qu’un SMICard fait vivre beaucoup de monde.
Chute de salaire Chez FOCAST : il y a 12 ans, une salariée avec poste de responsabilité percevait 1200 F de plus que le SMIC ; Le 23 juin 2003, avec davantage d’expérience et d’ancienneté, la même salariée n’était plus qu’Ã 400 F au dessus du SMIC. Le 24 juin, avec la hausse du SMIC elle n’était plus qu’Ã 4 F au-dessus. Ce qui prouve la non-évolution de son salaire ... Se retrouver au SMIC au bout de 12 ans de carrière, chapeau ! Heureusement les syndicats ont réussi à négocier une augmentation de 60 euros pour tout le monde. Avec ça les salariés restent cependant en dessous des salaires d’autres fonderies du groupe.
Ecrit le 9 juillet 2003 :
La-la-la-la ... ce pourrait être une chanson. Ce sont seulement deux lettres en trop. En faisant les nouvelles plaques de rue, avec écusson de la ville, la mairie a écrit rue « Général de la Bollardière » au lieu de « Général de Bollardière ».
Emmanuel : Emmanuel Fortineau va quitter la paroisse de Châteaubriant. Il laissera un excellent souvenir par son ouverture d’esprit et par les contacts chaleureux qu’il a su nouer avec tous, croyants et non croyants, d’origine française ou étrangère.
Monlaurent : Jean-Pierre Monlaurent quitte la direction du lycée Guy Môquet pour prendre celle d’un lycée plus important à Rennes. Il a beaucoup travaillé avec le tissu économique local, et a ouvert à tous les portes de la culture, en formation initiale, et en formation continue (notamment par le Greta et l’atelier pédagogique personnalisé).
Intégration : des jeunes d’origine turque ont suivi les Promenades Littéraires de Châteaubriant, le jeudi 3 juillet et commencé ainsi à apprendre une partie de l’histoire de leur ville. C’est un geste d’intégration de leur part.
Compassion : un brave homme, l’autre jour, s’est rendu à un enterrement dans une église de Châteaubriant . A la fin de la cérémonie, il est allé voir, à la rédaction d’un quotidien local, le nom de la personne qui était enterrée ce jour-là ...
Gel du tiers
Le gouvernement a décidé un nouveau « resserrage » des mesures d’insertion : CES (contrats emploi-solidarité) et des CEC (contrats emploi consolidés), pour le deuxième semestre 2003. Concrètement : tous les employeurs qui ont au moins 3 postes d’insertion se verront appliquer une diminution d’un tiers. Cela concerne les établissements sanitaires et sociaux (l’hôpital de Châteaubriant devrait ainsi perdre 8 postes), les établissements scolaires, les associations.
De plus, toutes les structures qui n’ont jamais eu de CES ni de CEC n’auront plus le droit d’en obtenir. Même chose pour les structures qui n’ont pas de personnel permanent.
Des restrictions concernent aussi la formation dispensée en prison (en seront victimes les prisonniers et les formateurs), alors même que la surpopulation carcérale n’a jamais été aussi critique (60 963 détenus pour 48 603 places : soit 25 % de trop. Avec les chaleurs de l’été qui arrive, ça va être chaud !).
Ainsi, en douce, les restrictions concernent les personnes les plus démunies..
La disparition de
_l’école des Terrasses ?
Conseil d’école : « J’aime mieux être avec vous qu’au Conseil d’Ecole des Terrasses » a dit Mme Claudie Sonnet au Conseil des Jeunes ! On la comprend : en tant qu’élue, elle a été questionnée, comme l’étaient les élus de la municipalité précédente : c’est à ça que servent les élus, mais ça la dérange !
On se souvient qu’une grève a agité l’école des Terrasses en mars 2002 quand il a été question de supprimer le jardin destiné aux enfants. Lors du Conseil d’Ecole du 2 avril 2002, le maire, M. Hunault, s’est engagé à faire un certain nombre de travaux : la réfection du sol de la cour pour la rentrée 2002 ainsi que la construction d’un préau et d’un gymnase dans un délai de 3 ans. C’était si beau, que les parents, à l’époque, ont été ébahis. La rentrée 2002 s’est passée, sans que le sol de la cour soit fait. Les parents n’ont pas polémiqué, faisant confiance à la promesse émanant du maire lui-même. Or, au dernier conseil d’école, le 26 juin 2003, Mme Sonnet, tout en reconnaissant les promesses faites par M.Hunault (elle était d’ailleurs présente) a annoncé qu’il s’était engagé en son nom personnel mais que la municipalité n’était pas d’accord pour honorer ce projet.. « La question s’est alors posée de la crédibilité des élus et de l’utilité des conseils d’école, si ce qui est annoncé par le maire n’est pas réalisé par la suite » disent les parents. « Mme Sonnet nous a expliqué qu’avant de prévoir des travaux trop importants, la municipalité veut engager une étude sur le coût de fonctionnement par élève de chaque école et qu’une réorganisation des périmètres et locaux scolaires est possible. Est-ce la programmation de la disparition de l’école des Terrasses (école de centre-ville) ? Pas forcément nous a-t-on répondu ». Il a par ailleurs été dit aux parents que cette école était vaste et ancienne et coûtait cher en entretien. Cette réponse a inquiété les parents d’élèves.
A la suite de cette réunion, le maire a affirmé qu’il s’engageait sur le goudronnage de la cour. Est-ce en son nom propre ou en tant que maire ? En tout cas rien n’est inscrit au budget 2003. Mais ce n’est pas une raison : on a vu d’autres travaux (les deux giratoires du 2 juillet 2003), qui ont été votés sans être inscrits au budget. Il y a des dysfonctionnements qui sont étonnants.
Aide-éducateurs : le Conseil d’école a, par ailleurs, évoqué la disparition des aide-éducateurs. « Cela impliquera à l’école des Terrasses des difficultés de fonctionnement quant à l’organisation de la bibliothèque-centre-de-documentation, de l’entretien et de l’organisation de la salle informatique dans le cadre des cours et de l’inter-classe du midi ». Mme Sonnet n’a pas apporté de réponse satisfaisante.
Au lycée Etienne-Lenoir, lors du Conseil d’Administration de juin 2003, les représentants du personnel ont refusé au directeur l’autorisation de recruter des assistants d’éducation, en remplacement des surveillants. Mme BRIOUZE, représentant la mairie, a refusé aussi. « Ai-je bien fait ? » a-t-elle demandé ensuite aux professeurs présents. « Oh oui ! lui ont-ils répondu, mais il n’est pas sûrque la majorité du Conseil Municipal soit d’accord avec vous ! ». C’est dur le métier d’élu.
Ecrit le 2 septembre 2003
A Châteaubriant comme partout en France, c’est la rentrée, quoiqu’un peu au ralenti ... tant que la Foire de Béré n’est pas passée.....
Cet été il s’est passé peu de chose, à part le bowling et la place Ernest Bréant dont les travaux sont commencés. A part aussi la présentation à la presse du vélodrome rénové. Pour la suite, il y a des projets.
vélodrome : + 115 %
Le 8 mars 2002, la commune de Châteaubriant a décidé la réfection de la piste du vélodrome et la création d’une aire d’entraînement pour l’école de cyclisme. Le 30 septembre 2002, le coût en était annoncé, 350 000 € HT , avec 79 % de subventions.
Le 12 août 2003 a eu lieu la présentation de l’équipement à la presse. Tout change !
coût prévu 350 000 € HT
coût effectif 390 468 € HT
Subventions prévues : 79,00 %
Subventions effectives : 59,50 %
Ce que cela coûte à la ville :
coût prévu 73 522 € ( 482 272 F)
coût effectif 158 120 € (1 037 200 F)
Ainsi il y a eu dépassement de crédits de 84 598 € soit 555 000 F environ. L’équipement a coûté 115 % de plus que prévu ! A cette allure-là ; où allons-nous ?
Mais comme dit une brave dame : qu’importe le prix pourvu que ça bouge ... sauf qu’Ã l’arrivée, il faudra bien payer les pots cassés. Les finances de la ville, qui étaient saines en mars 2001, risquent de ne pas le demeurer longtemps.
A noter que le Conseil Général est généreux pour la ville de Châteaubriant (amitiés politiques obligent) : il avait prévu de donner 50 000 €, et en réalité il a accordé 58 560 €
Le vélodrome de Châteaubriant a été construit en 1977 avec le concours technique du champion Daniel MORELON. Des castelbriantais ont participé aux calculs techniques, notamment MM. Jean-Paul Peltier et Jean-Yves Voisine, pour que, d’une forme ovale au sol, l’équipement apparaisse circulaire vu du ciel.
Des fissures étant apparues au niveau de la piste béton, la ville a fait appliquer un revêtement résine par l’entreprise Eurosyntec. De plus, une aire d’entraînement de 1500 m2, destinée à l’école de cyclisme, a été aménagée au centre de la piste. M. Philippe, président du Cyclo-club, a exprimé sa très grande satisfaction. Longueur de la piste : 250 m, largeur 7 m, pente maximum : voisine de 40°. Des lignes bleues et rouges ont été tracées après de savants calculs : la tolérance, sur la longueur de la piste, ne devant pas dépasser 12,5 millimètres.
L’inauguration officielle a eu lieu le vendredi 29 août 2003 mais l’épreuve de demi-fond derrière moto et la finale du Challenge Huby n’ont pu avoir lieu, à cause de la pluie.
On achète, on achète
La ville de Châteaubriant a de l’argent, du moins pour certains projets. Voilà ce qui est dans l’air :
Achat de la propriété « Maussion » Ã l’angle de la rue Jean Jaurès et de la rue Guy Môquet. Superficie : 3000 m2 environ. Prix d’achat 540 000 francs. A noter que le compromis de vente a été signé au cours de l’été, alors même que le dossier n’est pas encore passé au Conseil Municipal. Mais c’est pour quoi faire ? Encore un parking ?
Le permis de démolir pour les anciens Éts Besnier, à l’angle du 42 rue Jean Jaurès et du 27 rue Guy Môquet, a été déposé. Pour y faire un parking ! Rappelons que ce terrain de 2226 m2 a été acheté en 2002 pour 59 455,12 € (ce qui fait 390 000 F). Reste à payer les frais de démolition et l’aménagement du parking.
Autre projet : l’achat d’un immeuble, juste à côté du futur bowling qui permettrait de déboucher sur le terrain qui a été acheté (au prix de 260 000 €) à M. Geslin (qui continue son activité pendant 4 ans) pour faire une issue de secours au fameux bowling. L’achat projeté permettrait d’accéder à ce terrain et de le transformer en parking (encore !). Problème : la partie basse du terrain Geslin, celle qui touche la Chère, est inondable tous les hivers . Les travaux de réalisation du parking risquent de coûter cher. Mais que ne ferait-on pas pour favoriser le bowling ?
A propos, on ne sait toujours pas à qui a été concédée l’exploitation de celui-ci. On dit avec insistance que les candidats ne se bousculent pas au portillon ....
Commerces
La SCI Flatet demande une extension pour sa « jardinerie La Rosée », rue Alsace Lorraine.
La société SOREPRIM qui a déjà obtenu un permis de démolir pour les anciens établissements Provost, rue du Général Patton, a déposé une demande de permis de construire, le 26 juin 2003, pour une surface commerciale.
Le eptit commerce à Châteaubriant
médical
La Clinique Sainte Marie a déposé le 11 août 2003 une demande de permis de construire, pour une « clinique chirurgicale » d’une surface hors œuvre nette de 7029 m2 sur un terrain à proximité du Centre Hospitalier.
Quant à la Mapa (aménagement de la salle à manger pour les personnes en long séjour), toujours pas de permis de construire. Il aurait pourtant dû être accordé avant le 16 juillet 2003. (Comme quoi, quand les bornes sont dépassées, il n’y a plus de bornes : les citoyens, eux, sont pénalisés s’ils ne respectent pas les délais administratifs. Mais l’administration a tous les droits ?)
Aux dernières nouvelles ce serait bloqué au moins jusqu’au 8 septembre parce que la commission de sécurité (= pompiers) n’a pas « eu le temps » de statuer ! (il ne s’agit pas des pompiers de terrain, mais d’un service administratif). En trois mois, de avril à juillet, ils n’ont pas su prendre le temps ? Les personnes âgées, dépendantes, continuent à « bénéficier » d’un local exigu (16 personnes en 20 m2),Ce fut chouette pendant la période de canicule !
Foot
La ville de Châteaubriant a obtenu un permis de construire pour des vestiaires sportifs qui se situeront en bordure du terrain de football en cours de réalisation rue de l’Europe : deux vestiaires joueurs, un vestiaire arbitre, infirmerie, sanitaires. Il est étonnant que ces vestiaires ne soient pas prévus « en dur » : un « bâtiment modulaire » avec des parois en panneau sandwich de 40 mm, aura-t-il la même durée de vie ?
Divers
Un permis de démolir a été obtenu par la ville pour l’ancienne épicerie située au Chêne Cholet, 19 faubourg de Béré. C’est le prélude à l’aménagement des abords de l’église de Béré, aménagement pour lequel aucun projet n’est encore connu.
Rappelons à ce propos qu’un permis de démolir de l’ancien office de tourisme , rue du Château, a été obtenu depuis longtemps et que les travaux ne semblent pas être se profiler à l’horizon ! pas plus que la construction de WC place des Terrasses.
Le Conseil Général a déposé une déclaration de travaux le 23 juillet 2003 au sujet du collège de la Ville aux Roses : clôture périphérique du site, grillage rigide plastifié vert, d’une hauteur de 1,80 m, modification de l’entrée avec cheminements piétons/véhicules séparés.
Vitré
Le 7 septembre 2001 a été signée une convention entre le pays de Vitré et la Communauté de Communes de Châteaubriant, avec les objectifs suivants (et ronflants !) :
– Améliorer les relations domicile/travail
– Inciter les Régions respectives à définir des champs de formations professionnelles entre les deux pays
– Informer mutuellement des populations sur les spectacles et festivités organisés à Châteaubriant et à Vitré
– Promouvoir les potentialités touristiques des deux villes et de leur région
– Les associations seront invités à entreprendre des échanges tant dans les domaines à caractère sportif et culturel que dans celui de l’économie (clubs d’entreprises)
– Les élus se rencontreront pour échanger sur leurs pratiques
En deux ans, que s’est-il fait ? Apparemment rien ! Ce n’était encore qu’un effet d’annonce.
Le Plan local d’urbanisme va être soumis à enquête publique du 22 septembre au 24 octobre 2003. N’hésitez pas à aller porter vos observations sur le cahier prévu à cet effet au Centre technique Municipal, rue du Commandant Bachellerie.
Le goudron,ça brille
On sait que « tartiner le goudron » (ce qui n’est pas pire que taquiner le goujon) est une des occupations favorites de la municipalité de Châteaubriant. Figurez-vous que la Juge d’application des peines chargée de se prononcer sur l’aménagement de peine réclamé par José Bové, a ordonné, vendredi 1er août, sa « libération et son placement extérieur sans surveillance ». Le syndicaliste a été libéré le 2 août 2003. Mais avant cette date les militants de la Confédération Paysanne ont multiplié les inscriptions « libérez José Bové » sur les panneaux, sur les bacs de collecte sélective, sur les routes et en particulier au niveau du McDo de Châteaubriant. Les autorités municipales ont fait recouvrir de goudron (bien brillant) les inscriptions blanches, ce qui a pour effet de prolonger la durée de visibilité de la dite inscription. Un coup réussi.
Public-privé
mélange : Des membres de la municipalité de Châteaubriant passent à proximité des HLM de la Ville aux Roses, trouvent que les abords sont sales et font nettoyer par les employés municipaux. Depuis quand les employés publics interviennent-ils sur des espaces privés (en l’occurrence ceux de l’Office HLM) ?
mélange (suite) : la cour de l’école (privée) de La Trinité a reçu un bon coup de balai donné par des salariés municipaux. Si votre jardin (privé) est sale, demandez donc l’aide publique !