Place aux Vieux
Réunions de quartiers de mars 2005
Ecrit le 16 mars 2005
Première réunion de « secteur » au quartier de la Ville aux Roses, ce mardi 8 mars 2005. Quarante personnes environ. Peu. Surtout si l’on sait que les invitations ont été largement diffusées dans toutes les boites à lettres. Trois fois 1) le bulletin municipal 2) l’agenda 3) courrier personnel. Avec, en prime, le journal lumineux derrière la mairie.
présomptueux
Quatre personnes à la table officielle. Qui ne se présentent pas, sauf quand un participant le demande. « Nous sommes connus » disent, présomptueux, les élus. Eh bien non. Et même après leur présentation, des gens interrogeront à la sortie. « Comment il s’appelle le monsieur qui était au bout ? »
Au début l’inévitable film réalisé par le service communication de la mairie. Travail de pro. Un air de jazz, de belles images. Le texte est plus honnête que d’habitude en indiquant qu’un certain nombre de travaux dont s’enorgueillit la municipalité sont financés par d’autres collectivités.
A la sortie de la réunion, des personnes interrogent : comment est-il possible de réaliser tout cela en baissant les impôts ? L’explication est simple : les films municipaux sont des papiers tue-mouches, ils collent tout ce qui passe : les travaux
mairie, et les travaux financés par d’autres organismes. De la propagande à l’état pur. Efficace ? Pas sûr. Des doutes se font jour.
Vient le temps des questions.
De quoi qu’on cause ?
Questions ... de riches,
Questions de personnes âgées.
La quasi totalité des participants sont habitants des pavillons (et pas des HLM du quartier), et retraités. Ils n’ont plus, en ce qui les concerne, des problèmes d’emploi et peut-être pas de problèmes de revenu. Ils ne s’intéressent pas aux jeunes. La municipalité, soucieuse de caresser l’électeur dans le sens du poil, ne montre aucune préoccupation dans ce domaine.
Alors, quand on n’a pas de problème,
de quoi qu’on cause ?
De bricoles.
Ya la rue Beethoven qui est étroite et sans autre stationnement que la rue. « Bon on verra s’il faut la mettre en sens unique » dit le maire
Ya la rue des Droits de l’Homme dont le débouché manque de visibilité sur la rue de la Libération. « Bon, on verra s’il faut mettre un sens interdit » dit le maire. Un interdit dans la rue des Droits de l’Homme. Le rapprochement pourrait faire sourire ou créer colère. Mais nul ne relève l’humour involontaire.
La rue Ampère est en sens unique. Oui mais ya des gens qui le respectent pas. Allons bon !. « Nous veillerons à le faire respecter » dit le maire
Au sortir du parking privé du fleuriste, il ne faudrait pas que les gens tournent à gauche. « Bon, on va mettre un panneau indiquant un sens unique ». dit le maire
Ici le stationnement des véhicules gêne la visibilité. « Bon on va mettre des plots » dit le maire
LÃ les feux sont gênants. « Bon, on va faire un rond-point » dit le maire. Enfin peut-être ! La Municipalité commence à dire que « ça coûte cher ! » mais se glo-rifie « Si une municipalité a fait des rond-points, c’est bien nous ! ». (c’est pas sûrd’ailleurs)
Les plots, les rond-points, les sens uniques
Les sens uniques, les rond-points, les plots.
De quoi qu’on cause d’autre ?
Quelqu’un a-t-il des problèmes ?
Un amuseur public, toujours la bouche ouverte, signale une bricole ici et une autre là . Ca passe le temps. Dommage que ce soit pour dire n’importe quoi.
Deux exemples :
– « Ici, près du parking de la place Gabriel Fauré, les gosses dévalent une butte très en pente comme un toboggan. Ne pourrait-on mettre des plantes pour couvrir le sol. ce serait plus joli » dit-il. Il a raison cet homme, les gosses ça dérange. Et nous sommes tous des vieux !
– « là , un vieux chêne creux. N’est-il pas dangereux ? Ne faudrait-il pas l’abattre ? » dit-il. Il a raison cet homme. Les vieux chênes ont gardé le souvenir du passé. détruisons, détruisons, plantons du béton. Et rendez-vous compte, si les gosses d’aujourd’hui s’avisaient, comme autrefois, d’aller jouer dans le tronc des vieux chênes. Danger dit-il, danger.
On en arrive à une société aseptisée, sans couleur, sans saveur. où l’on confond le danger et le risque. où les gosses détruisent le bel ordonnancement pensé par les adultes, où les arbres tordus et creux font injure aux constructions modernes de béton, de plastique et de verre. Allez ouste, du balai !
Ah, n’oublions pas, il y a là , et là , des rambardes qui manquent. « Les personnes âgées ont besoin de se tenir ! ». L’amuseur public a encore parlé. Mais ce n’est plus drôle. L’emploi on n’en parle pas. Les loisirs des jeunes on n’en parle pas. La vie sociale autre qu’autour des sujets de circulation non plus. On a seulement besoin de barrières pour protéger les vieux ........
Une idée : si on réservait Châteaubriant pour les personnes âgées ? Les jeunes pourraient être priés d’aller se faire voir sur les communes extérieures.
Jardins familiaux
Une information importante cependant : les jardins familiaux demandés par l’association Rencontres pour le quartier de La Ville aux Roses, devraient être aménagés bientôt.
Au départ l’association s’est déclarée intéressée par deux parcelles ... que la municipalité a réservées pour le futur cimetière. La ville a proposé un terrain Maréchal Foch, trop loin du quartier Ville aux Roses (surtout quand on sait que la plupart des familles n’ont pas de voiture). Un autre terrain, non loin de la Chère, est à l’étude. coût : 8372 euros environ. « Vous comprenez que nous ne pouvons facilement engager cette dépense » dit le maire sans honte. Il est vrai qu’il a dû engager 10 fois plus pour le bowling (dépense imprévue) et 24 fois plus pour une fontaine ! Question de choix.
Politique
« La politique on en fait au moment des élections. Ensuite on travaille avec tout le monde » a dit Alain Hunault devant une cinquantaine de personnes au quartier de Béré. Ses propos sont contredits par l’attitude de rejet et de mépris qu’il a vis-Ã -vis de ceux qui ne sont pas de son avis.
Un citoyen qui a osé dire que l’étang de la Ville Marie, vidé à la demande du Gardon d’Herbe, se remplit difficilement, en sait quelque chose.
La politique, c’est simple : Si vous dîtes comme moi, ça va. Si vous divergez, alors vous faites de la politique !
Rocade ouest
Une question fort opportunément posée dans la salle, par quelqu’un qui avoue : « Nous ne mettons pas en cause la municipalité », concerne la fameuse Rocade Ouest que des riverains réclament, on les comprend, en raison du bruit et de la circulation sur la route de Rennes. Le maire laisse entendre que la majorité précédente du Conseil Général avait promis cette rocade. Ce qui est faux : il ne peut présenter aucun document dans ce sens.
En réalité le Conseil Général était très réticent mais le changement de majorité est commode : « On nous refuse, rien que pour nous embêter. C’est pas sérieux » dit le maire
J’en veux d’autre !
Il existe, au niveau du Conseil Général, un fonds d’aménagement communal grâce auquel les communes peuvent obtenir des subventions, selon des taux fixés à l’avance (les mêmes qu’avec la majorité précédente). Mais puiser dans le pot commun a quelque chose de dévalorisant, sans doute, car M. le Maire de Châteaubriant veut davantage.
Il a un projet de salle de sports et de réfection de la piste d’athlétisme du côté de la cité scolaire. Il demande au Conseil Général d’en payer le tiers et au Conseil Régional de payer un autre tiers. « Et si vous ne payez pas, c’est que vous êtes contre nous pour des raisons politiques ». Le refrain est lancé. Nous l’avions annoncé. Il arrive.
La Vitesse du çon
La règle du jeu dans les réunions de secteurs, c’est de flatter l’électeur et de dire comme lui. Un riverain s’est plaint de la vitesse excessive à La Bruère. « 120, 130 km/h » dit-il. Le chef de la police municipale, courageusement, a répondu que des contrôles de vitesse, inopinés, ont été effectués et montrent que « on a une impression de vitesse. Nous n’en avons relevé aucune au dessus de 86 km/h ».
Ah malheureux ! Que n’avait-il dit là ! Le maire lui a répondu que son contrôle de vitesse était sûrement hors TVA, autrement dit qu’il fallait ajouter 20 %. A la place de M. le chef de police, nous serions vexés ! Mais lui il dit : « bof ! j’ai l’habitude »
Avaloirs et Pièges à eau
Le quartier de Béré se focalise sur la rivière La Chère. Pour la pluie (quand il pleut), faut-il des avaloirs ou des pièges à eau ? Un citoyen met en cause le Syndicat d’aménagement du bassin versant. Le maire approuve : « l’efficacité de ce syndicat, je vous laisserai juge de l’apprécier », et reprend un autre de ses refrains « pendant des années il n’y a rien eu de fait ».
A force de la répéter, les gens vont finir par croire cette contre-vérité. C’est d’ailleurs le but de la manœuvre. vérité, justice, vous repasserez pour la distribution.
On parle encore de buses à poser, d’un rond-point à faire (Ã la sortie de la ville, route de Rennes), d’une piscine ludique (si la Communauté de Communes veut bien en construire une à Châteaubriant).
Aucun sujet global, aucun projet pour l’avenir de la ville. Jean Seroux se risque cependant à demander : « Voulez-vous des précisions sur le projet de cimetière ? ». Non, la salle ne veut pas.
Allez, des petits gâteaux, vin et jus de fruits. A l’année prochaine. Il reste encore trois réunions de « secteurs » à faire.
Ecrit le 23 mars 2005 :
Même les chiens ont un avis
Pourquoi la ville de Châteaubriant deviendra-t-elle riche ? Parce que le silence plaaaaaaaaane sur les réunions de secteurs. Or le silence est d’or .......
Avez-vous des questions à poser ?
Sileeeeeeeeence ! Nul n’ose. Mais le maire n’hésite pas à mettre en avant les améliorations apportées ici ou là . « C’est mieux que rien, je vous remercie » disent les bonnes gens.
Après un temps assez long , quelques personnes se risquent.
Dans le quartier Centre on parle du stationnement des camions de livraison dans la rue Aristide Briand (pour réclamer un emplacement réservé). Le maire répond à juste titre que le camion qui livre de la boisson ne peut pas être intéressé par l’emplacement qui serait réservé à celui qui livre du papier.
Quelqu’un note l’absence de police municipale après 17 heures. Le chef de la police rétorque qu’il y a en tout 11 agents de police et 4 agents de médiation, que 4 à 6 agents tournent jusqu’Ã 20 h 15 et qu’une équipe de nuit travaille jusqu’Ã 4 heures du matin.
« On a baissé les impôts, il faut donc faire des choix dans les dépenses » dit le maire. « La sécurité a été une de nos priorités ».
Bien entendu on reparle de parkings. Le directeur des services techniques montre le plan de celui qui, à la place des « Meubles métayer » donnera 31 places sur le terrain situé entre la rue Guy Môquet et la rue de la Vernisserie. Ce parking supprimera une quinzaine de places existantes en bordure de trottoir. Cela on ne le dit pas. Il est question aussi du parking prévu au 13 rue de la Barre, qui a été refusé par l’Architecte des Bâtiments de France.
Le maire confirme qu’il veut faire un rond point à la place des feux de la rue Guy Môquet mais qu’aucun projet n’est arrêté sur les anciens bâtiments « Maussion » c’est-Ã -dire sur la première Usine Huard.
Une suggestion intéressante : un broyeur de papiers installé à la déchetterie. Et puis fini. On prend un pot ?
Quartier des Terrasses
Même chose que dans les autres quartiers. Pas grand monde. Le sempiternel film-apologie. Avez vous des questions ?
La traque ...
La vitesse, ah la vitesse ! Tout va trop vite à Châteaubriant. D’ailleurs le chef de la police a révélé que, dans l’année, il y a eu 98 contrevenants verbalisés pour excès de vitesse. Rendez-vous compte ! Un tous les trois jours ! « Faites-en plus, faites-en plus » pensaient très fort les personnes présentes ce qui a encouragé le chef de la police à raconter la traque : ce mobylettiste qui roulait trop vite 125 km/h à la sortie de la ville, et que les agents de ville ont réussi à coincer, non sans mal, au bout de deux mois et demi d’embuscade ! Zorro est arrivééééé ! hé hé !
Et puis, savez-vous, ya des voitures qui gênent à l’arrière du magasin Bricomarché. Mais on ne peut rien dire à Bricomarché, explique le maire, c’est un commerçant vous savez ! Alors on tombe sur le voisin d’Ã côté qui a le tort de garer son véhicule devant chez lui alors qu’il pourrait le garer à l’entrée de son garage.
Mais dîtes, c’est le véhicule qui gêne ? ou la couleur (de peau) de son propriétaire ?
Pour le reste, des broutilles
comme d’hab’.
La réunion est vite finie.
Allez, on prend un pot ?
Des chiens, des rats et des poules
Dernier quartier pour cette semaine : celui qui vote à l’école René Guy Cadou. Il y est d’abord question des éoliennes qui vont se construire tout près, sur les communes de Soudan et Juigné. Châteaubriant n’a pas été sollicitée. « De toutes façons je ne suis pas favorable » a dit le maire, « Si la société qui les installe venait à faire faillite, que ferions-nous ? ». Considération étonnante quand on sait que Châteaubriant n’a pas hésité à construire, dans le passé, pour des entreprises qui ont fait faillite ...
A part ça, ya des rues qui ont été refaites à neuf, mais du coup cela accélère la vitesse des voitures. Ya une rue où un passage piétons est inutile (« il n’y a que mon chien qui l’emprunte » dit un voisin). Près du plan d’eau, il y a des rats « C’est mon chien qui les a vus ». Braves toutous !
Humour involontaire
Heureusement, certaines remarques ne manquaient pas d’humour,... involontaire :
Rue des Hirondelles, il y a des nids de poule. Incorrect ! « c’est pour faire boire les hirondelles, qu’il a fait ça Cadet Rousselle, Ah, Ah, Ah oui vraiment, Cadet Rousselle est bon enfant »
Dans toutes les rues les bouches d’égout font du bruit.. Que ne leur a-t-on appris à parler bas !
Au bout des passages piétons, près du plan d’eau, il manque un bateau. « Maman les p’tits bateaux qui vont sur l’eau ont-ils des jambes ... » aurait-on pu chanter. La citoyenne ajoute : « vous êtes en bonne santé, vous, pensez aux personnes handicapées »
Et la vitesse, et la vitesse ! Ya pas à dire les voitures roulent vite et se garent n’importe où ! Le refrain revient partout. (ndlr : Une seule solution ; supprimez toutes les bagnoles ! )
A part ça, pour caresser une électrice dans le sens du poil (en tout bien tout honneur), le maire n’a pas hésité à promettre un panneau « 50 » dans une rue, alors même que la totalité de la ville est limitée à 50.
Une seule proposition intéressante d’un citoyen : relier le « Chemin de dame Sibylle » avec le plan d’eau voisin pour faire une promenade pour le quartier.
Allez, la réunion est finie.
On prend un pot ?
Ecrit le 30 mars 2005 :
Des chiens qui chient c’est chiant
Chiche que vous n’êtes pas capable de chuchoter trois fois, sans chuinter, la phrase :
« des chiens qui chient, c’est chiant ».
Les chaussettes de l’archiduchesse sont sèches et moins odorantes , dit-on.
Et pourtant, lors de la dernière réunion de « secteur » de l’année 2005, il fut largement question de caca de chien, en long, en large et en travers des trottoirs, des allées le long de l’église, des bacs de sable, etc. Nul n’a encore signalé que, dans ces lieux, des messieurs soulagent leur vessie sans même trop se cacher ( Y’en a ! Y’en a !) Il manquait aussi les messieurs (encore eux) qui crachent ( y’en a ! Y’en a !). Crotte de bique ! Aux réunions de secteurs à Châteaubriant, ça vole bas, au ras des pâquerettes, et ça ne sent pas la rose !
Mardi 22 mars 2005, au secteur Marcel Viaud,pour la première fois les élus disent leur nom aux personnes présentes. Ah, au fait, de quoi qu’on cause ?
Silennnnnnnnnce...!
Ca devient une habitude
Une personne s’inquiète de la sécurité des enfants rue de la Libération, à la sortie du collège St Joseph. Le maire, à dire vrai, se trouve un peu à court d’arguments. Alors il botte en touche : « vous avez vu, on n’est pas restés sans rien faire. On a mis trois STOP à la sortie de la rue Baptiste Marcet ». VOUI ... mais ça n’a pas de rapport, c’est trop loin ! « La sécurité c’est pas évident » dit le maire, sans répondre à la dame. Il ajoute cependant : « aux abords des collèges et lycées, ce sont les enseignants qui doivent assurer la sécurité des enfants ». Tiens donc, ousqu’il a été chercher ça ?
Une personne s’étonne du manque de jeux pour les enfants, dans le Parc de Radevormwald. « Vous avez vu, on a refait l’enrobé. Tout n’est pas fini » répond le maire.
Changement
Peu à peu, on note un changement dans les réponses du maire. Au début du mandat il disait : « Voyez dans quel état la municipalité précédente a laissé tout ça. Nous y remédierons ». Trois ans plus tard, quand nombre de travaux ne sont pas réalisés et que les citoyens commencent à en faire la remarque, le maire dit : « On a déjà fait plein de choses. On ne peut pas tout faire ... ». Parfois il ajoute : « Nous avons réduit les impôts locaux, donc nous ne pouvons pas faire tout ce que nous voudrions ».. M. Flatet ajoute : « Nous avons encore 2-3 ans pour revoir le centre-ville ».
Vois... ture... lure
Les voitures !
Ca roule trop vite
Ca stationne partout .........
« Vous avez vu, nous avons fait un beau rond-point place des Alliés » dit le maire. Quelques personnes, dans la salle, écornent la belle image : « pour les vélos c’est dangereux. Les camions descendent à toute allure, c’est l’horreur ! ». Pour un peu on nous rejouera bientôt « le salaire de la peur » (les explosifs en moins). Jean Seroux, courageusement, (et à juste titre)relativise cette vitesse.
« Dans la rue Cambronne, les voitures roulent trop vite. Il va y avoir un mort » dit quelqu’un. Depuis le temps que « on » nous promet des morts ici ou là , heureusement il n’y en a pas ! L’encombrement dû au stationnement parfois anarchique des véhicules dans cette rue, limite la vitesse. Seuls souffrent les rétroviseurs...
Quelques questions plus pertinentes cependant :
1.- la chambre mortuaire. « Pourquoi ne peut-on pas utiliser celle de l’hôpital ? La chambre mortuaire privée est très onéreuse. Y a pas que des gros salaires ici , il faut penser aussi aux petits ».
2.- l’ancien hôtel des Postes : « Que va-t-on en faire ? Musée ? Sous-préfecture ? Office de Tourisme » [ndlr : la réutilisation de ce bâtiment n’est pas sans poser de problèmes : notamment celui de l’accessibilité !]
3.- la place de la Motte ... « elle est moche. prévoyez-vous de la refaire et de repenser un plan de circulation ? » - « Oui oui, on y pense, dit le maire, mais on ne peut pas tout faire. Vous avez vu, on a fait le cinéma, le bowling et la Place Ernest Bréant ».
Allez, la réunion est finie.
Et un petit pot de l’amitié.
A l’année prochaine.
Mais que ces chiens qui chient
sont donc ....chiants ! BP
Si vous avez des problèmes, n’oubliez pas le numéro vert miracle : 0 800 44 2000. Un simple appel et hop ! TOUT est résolu. Qu’on se le dise !