Ecrit le 28 mai 2008
A la suite d’unécho paru dans La Mée de la semaine dernière, les Ateliers de La Mée précisent : « depuis 2001 le restaurant du CAT, La Mée délice [situé rue des Vauzelles] fournit les repas du Foyer-Restaurant des personnes âgées, dans le cadre d’appels d’offres successifs, à la satisfaction des convives ».
Il faut en effet distinguer
– l’appel d’offres concernant les cantines des écoles, qui se fait en liaison froide
– l’appel d’offres pour le Foyer-Restaurant avec deux réponses possibles, en liaison chaude ou froide.
Pour le Foyer la municipalité de Châteaubriant a choisi la liaison chaude, malgré un coût plus élevé, considérant que cela correspond mieux au mode de vie des personnes âgées fréquentant les lieux. « Une cuisine traditionnelle à caractère familial assure une meilleure qualité gustative et un choix de menus moins restrictif mais pour le fournisseur il y a la contrainte d’une livraison après 11 heures ce qui suppose une certaine proximité » ajoute le directeur des Ateliers de la Mée.
NDLR : dommage que les enfants ne puissent pas [pas encore ?] bénéficier d’avantages analogues. c’est ce que nous avions voulu dire.
Ecrit le 9 juillet 2008
Elise, jeune volontaire au CAT
Le CAT (Centre d’Aide par le Travail), dans le cadre de ses nombreuses activités d’ouverture, cherchait un « volontaire européen ». c’est ainsi qu’Elise Albrecht, une jeune Allemande de 18 ans, est arrivée à Châteaubriant. Son sourire et son dynamisme ont fait merveille avec les éducateurs et les travailleurs du CAT et les jeunes du FJT où logeait Elise.
Après trois mois à la découverte des ateliers du CAT (soutien scolaire, randonnée, journal, look, théâtre, et travaux habituels), Elise a monté son premier projet : la fête de Noë l, avec groupe de décoration et groupe de chant. « Mon beau sapin », chanté en allemand et en français, accompagné de spécialités d’Allemagne. Par la suite elle a proposé quatre ateliers : chorale, découverte des musiques du monde, découverte de la musique classique et des instruments. Elle a même réalisé un lexique français-allemand-polonais. En tout 70 travailleurs (sur 85) ont participé à l’une ou l’autre des activités. « Elle nous a apporté un regard extérieur, et un supplément de jeunesse et d’enthousiasme » dit le directeur, René Henriquet.
Elise a obtenu un diplôme de langue française et va entreprendre des études de médecine lorsqu’elle sera de retour en Allemagne.