écrit le 13 novembre 2002
Mercredi soir, 6 novembre 2002 a eu lieu un cambriolage rue St Georges , dans les locaux de l’ACPM (chômeurs du Pays de La Mée). C’est le quatrième cambriolage de cette association, pour y voler des bricoles, quelques euros (d’un montant dérisoire) sans plus : le fax et le petit photocopieur n’intéressent pas le ou les voleurs : signe que ce sont des pauvres qui volent les pauvres. Quelques empreintes, un peu de sang. Trouvera-t-on le voleur ?
Plus grave, une jeune fille s’est fait voler son sac, ses papiers, et même une paire de chaussures ! Une vengeance quelconque ?
La semaine dernière, deux individus ont coupé les fils du téléphone de la parfumerie Rue du 11 novembre. Des voisins, et un jeune d’origine turque en particulier, les ont aperçus à plusieurs reprises, surtout lorsqu’ils ont menacé ce jeune : « tu nous a vus, mais nous aussi on t’a vu. Si tu parles, on se souviendra de toi ». Le jeune a crié. Mais personne n’a prévenu la police.
Les malfaiteurs sont cependant partis, laissant sur place, dans la cour, un sac contenant le matériel spécialisé (pied de biche, etc) Ce sont sans doute les mêmes qui sont allés ensuite cambrioler une parfumerie à Château-Gontier. Reviendront-ils, dans quelques temps, cambrioler la parfumerie de Roselyne Gasdon ? Il paraît qu’il y a de la « demande » dans ce type de produits.
Autre histoire : les cambriolages périodiques des « filles à la deux chevaux » dont nous avons parlé, en son temps, dans La Mée, se sont arrêtés dès que l’article est paru ! Rigolo ! De l’utilité de faire savoir les choses .
Quant aux rodéos de voitures, ils sont un peu calmés, du moins en début de nuit (quand il n’y a plus de points sur le permis, il faut bien devenir sage !).
Il en reste cependant beaucoup plus tard vers les 2-3 heures du matin. Les insomniaques les entendent fort bien.