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(écrit le 19 mars 2003)
Pour des Jardins familiaux
« Nous avons écrit à la mairie et rencontré le maire depuis novembre 2001, nous allons relancer ces jours-ci par un courrier : mais nous ne pouvons pas différer plus longtemps, 60 personnes attendent un jardin. Il faut lancer le mouvement. »
Ainsi s’exprime l’association « Rencontres » qui lance l’idée de Jardins Familiaux à Châteaubriant. « Ce n’est pas très compliqué. Il nous faut un terrain d’un hectare, deux ce serait mieux, que l’association gérerait, définissant des parcelles de 100 m2 environ, des allées, un règlement, un espace collectif pour barbecue, jardin pédagogique, espace jeu pour les enfants. Cela se fait partout, à Segré, à Château Gontier, à Pouancé. C’est possible ici, il y a de la demande ».
L’association « Rencontres » envisage ces jardins familiaux, pour toutes les personnes qui logent dans des immeubles collectifs. « Ce serait bien, pour les volontaires, d’avoir un petit chez-soi, et puis une occasion de rencontres avec d’autres personnes cultivant la parcelle d’Ã côté »
L’association « Rencontres » s’appuie pour cela sur l’expérience des « Jardiniers de France », un groupement qui a vu le jour dans le Nord, il y a environ cent ans, grâce à L’Abbé Lemire. L’association « Jardiniers de France » s’est tout de suite impliquée dans ce mouvement ; et fidèle à ses origines, elle continue d’encourager le développement de ces lopins de terre regroupés en lotissements et gérés, le plus souvent, par des associations.
Après avoir été considéré comme un remède à la misère, puis trop longtemps oublié, le jardin familial connaît un renouveau depuis les années 80. Il est synonyme de détente, d’anti-stress, de verdure, de créativité. Il a une fonction sociale, conviviale et est, depuis une dizaine d’années, facteur d’insertion.
Consciente de ces enjeux, l’Association des Jardiniers de France a été à l’origine de la loi du 10 Novembre 1976 qui a instauré un cadre législatif pour la défense des Jardins Familiaux.
La loi l’a prévu
Article L 561-1 : « Peuvent être dénommés Jardins Familiaux, des terrains divisés en parcelles, lesquelles sont affectées à des particuliers y pratiquant le jardinage pour leurs propres besoins et ceux de leur famille, à l’exclusion de tout usage commercial. (...). L’affectation d’une parcelle résulte du contrat d’adhésion à l’association qui est chargée de gérer les groupes de jardins familiaux, et éventuellement d’y entreprendre des actions pédagogiques et de vulgarisation horticole »
La moitié des Français jardinent et plus de 70% d’entre eux sont des citadins, d’où la nécessité d’aménager des espaces.
Pour Châteaubriant , ces jardins familiaux répondraient à plusieurs besoins des familles :
– Produire des légumes frais et de qualité, améliorant ainsi la vie des familles des immeubles collectifs et à faible revenu.
– Partager en famille et entre voisins, des moments de détente et d’évasion (créativité, imagination)
– Permettre aux personnes retraitées d’avoir une activité et de transmettre leurs savoir-faire, de retrouver un lien avec la terre, de sortir de l’ennui.
– Créer des échanges entre les gens : échanges techniques (semences, plants, outils), échanges humains (paroles, convivialité, entraide)
– Favoriser l’accès des habitants à un espace à soi, dont on se sent responsable, qui permet de « s’enraciner », de se réaliser, de faire se rencontrer les générations.
– Permettre aux personnes privées d’emploi d’exercer une activité valorisante
– développer la communication et le respect mutuel entre les personnes d’origine étrangère et les autres habitants.
Que faut-il pour cela ? Le terrain municipal cadastré BK1, route de la Bruère est en endroit favorable. La mairie le mettra-t-elle à disposition ? Il faut un puits, plusieurs robinets, une clôture. L’association est prête à prendre les conseils d’un architecte paysagiste et à établir un cahier des charges notamment pour la construction des abris de jardin.
« Nous sommes persuadés que des jardins familiaux contribueraient à une meilleure qualité de vie des habitants de Châteaubriant. C’est une réalisation très peu onéreuse pour la ville, une façon remarquable de montrer un intérêt pour une activité sociale ».
Une soixantaine de familles sont intéressées. La Chambre d’Agriculture a été mise dans le coup. Le projet PLU (programme local d’urbanisme) peut-il en tenir compte ?
La balle est dans le camp des élus.
(écrit le 21 mars 2003) : par voie de presse, la mairie fait savoir que le terrain BK1 est réservé pour le cimetière mais qu’elle a une proposition à faire
Ecrit le 3 juin 2003 :
Les jardins du bonheur ?
où en est la recherche de « jardins familiaux » ? L’association Rencontres a fait une demande depuis novembre 2001. La négociation serait en cours. Ce serait un bien pour Châteaubriant
D’autres communes ont adopté ce système, pour le plus grand bonheur de leurs habitants, comme aux Mureaux (Yvelines) par exemple, où la commune a attribué 40 parcelles, « lieux de nature et de convivialité », à des habitants venus de tous ses quartiers. Ils les appellent déjà les « jardins du bonheur ».
Les parcelles, de 150 mètres carrés chacune, s’alignent sagement entre deux grandes allées arborées. Pour chaque lopin de terre, une clôture avec portillon, un joli cabanon en bois où sont rangés quelques indispensables outils, un point d’eau et un arbre fruitier déjà planté (poirier, pommier ou cerisier).
coût de l’opération : 459 357 euros financés grâce à des subventions de l’Etat, des collectivités territoriales et de la commune. (soit à peu près le prix prévu à Châteaubriant pour les premiers travaux du bowling).
Rassemblés en association sous l’égide de la fédération nationale des jardins familiaux (FNJF), comme les candidats-jardiniers de Châteaubriant, « les jardiniers du bonheur » doivent acquitter un prix symbolique - 20 euros par an - pour la location du terrain. Ils ont l’obligation de cultiver un potager, mais ils peuvent l’agrémenter avec des massifs de fleurs, selon leurs goûts.
Le « brassage social »
passe par le jardinage
« Ces jardins ont un objectif social, environnemental et éducatif, explique le directeur du cabinet du maire des Mureaux, ce sont des lieux de réappropriation de la nature et de convivialité, mais aussi de brassage social, car nous avons tenu à ce que tous les quartiers de la ville y soient représentés et pas uniquement ceux des cités, où, comme partout ailleurs, on a, socialement, de grosses difficultés », affirme-t-il. Le jardin est, comme la sortie d’école, une occasion de rencontres entre les générations, et même d’activités communes entre parents, enfants, et grands-parents.
Un ancien ouvrier, la soixantaine, a eu, en se voyant attribuer ce lopin de terre qu’il cultive déjà , « le premier grand bonheur de sa retraite, où l’on s’ennuie à ne rien faire ». Il se prend à rêver à voix haute : « Je vais planter beaucoup de légumes et en particulier des fèves. Le week-end, les enfants iront jouer dans le parc, pendant que je travaillerai la terre. C’est vraiment bien... »
Coin pique nique
Son voisin, autre ouvrier à la retraite, a semé tout un carré de menthe fraîche. Fils de paysan, il a retrouvé les gestes ancestraux et le savoir-faire rural de son enfance, dans son Maroc natal.
Une mère de trois enfants qui, timidement, tait son nom mais avoue son âge - 37 ans -, affirme que son premier plant sera un pied de lavande. « J’aime tellement son odeur ! », dit-elle.
Mais attention, pas question d’aménager le cabanon en résidence secondaire ou de faire des parties de barbecue sur les parcelles. Le responsable du centre technique et des espaces verts de la commune, qui encadre l’opération, y veillera, bonhomme mais ferme : « Ici, on plante et on cultive. Mais pour plus de convivialité, nous envisageons d’installer un coin pique-nique séparé où les jardiniers pourront venir se détendre en famille ». Le vrai bonheur champêtre... à quelques mètres de grandes tours d’habitation.
D’après un article du journal Le Monde, 22 mai 2003
Notons aussi l’éditorial de Ouest-France du 31 mai 2003 qui appuie l’idée de ces « jardins partagés » et signale l’existence de l’association Pades (programme auto-production et développement économique et social) , 4-6 place de Valois, 75001 Paris - tél/fax : 01 45 92 02 54)
Ecrit le 6 août 2003 :
Le lavoir à racontars
Une soirée amicale s’est déroulée le mardi 29 juillet 2003 au « Lavoir aux racontars » situé au bout de l’impasse des Lilas à Châteaubriant . Les participants qui le souhaitaient, petits et grands, ont pu dire ce qu’ils avaient sur le cœur (comme gérard qui se désole de ne pas trouver du travail), interpréter une chanson, raconter une histoire, jouer de la harpe ou de la guitare. Ce lieu magique a été rénové par une dizaine de chômeurs encadrés par le CRFA (organisme d’éducation populaire) : un joli lavoir en pierre bleue, autrefois abandonné, muni maintenant de bancs en schiste et dallé à l’ancienne. Il y a même des toilettes (rustiques), des fleurs (soucis, dahlias et romarin) et la Chère qui paresse tout près....
Publié le 14 juillet 2004
Dans un petit coin, un lavoir
Racontant les histoires du passé
Des gens qui expriment leur fierté
Lieu d’échanges, d’amitié
Des scènes ouvertes à la paroles de tous
De ceux qui ne sont jamais importants,
Exclus
D’autres qui, par leur présence, donnent
L’importance à la dignité
Fernand Orie
(poème écrit le 6 juillet 2004, au « lavoir aux racontars »)
Ecrit le 3 novembre 2004 :
Yannick Jaulin au Lavoir des racontars
Pougne-Hérisson, ça existe, ça ? Eh bien oui. Il y a d’un côté, Pougne, et de l’autre, Hérisson, à 3 km. Jusqu’au XVe siècle, Pougne-Hérisson était très fréquenté par les marchands et les pèlerins. Le château, le prieuré et la chapelle du XIIe témoignent d’une vie médiévale florissante.
C’est dans ce petit village du Poitou (370 habitants environ), que le conteur Yannick Jaulin a repéré « le nombril du monde » : on dit que c’est là que sont nées toutes les histoires du monde. « Il était une fois... une flamme géante sortie de Pougne-Hérisson : c’est le grand Big Bang ! Cette flamme transporta des histoires sur toute la planète. Là , elles poussèrent et devinrent des contes dans toutes les langues. Puis la grande langue de feu se refroidit et forma la pierre de granit qui renferme des histoires. Jusqu’au Moyen Age, les troubadours vinrent à Pougne-Hérisson chercher le minerai de conte. »
Cette « mine de contes » a été redécouverte par Yannick Jaulin, un p’tit gars issu de la campagne profonde, qui a beaucoup écouté les histoires des Anciens, souvent dites en parlanghe (la langue poitevine). Quelques années plus tard, il a monté un groupe de rock parlanghe puis s’est lancé dans le conte avec toujours en mémoire ces récits recueillis dans les campagnes.
« Explorateur de la parole, Yannick Jaulin fouine dans les fables sans âge comme dans les bavardages quotidiens, dans les bonnes blagues de bistrot comme dans le chuchotement ému des confidences. Il traque ces énergies mystérieuses qui traversent l’humanité, alimentant un imaginaire universel. » dit-on de lui.
A l’occasion de son spectacle « Menteur » donné au théâtre de Verre, Yannick Jaulin a accepté une invitation au Lavoir à Racontars le samedi 9 octobre 2004.
Il a discuté avec les personnes présentes : essentiellement le public du CRFA ... un public « en précarité », persuadé que « le théâtre c’est pas pour nous ». A la suite de cette rencontre, quatre personnes ont osé franchir la porte du théâtre de Verre .
Yannick Jaulin a expliqué que ses spectacles sont faits à partir de collectages : il invite les gens à venir racontez des histoires sur un thème (la mort pour l’avant-dernier et le mensonge pour le dernier) puis fait un travail d’écriture et de mise en scène pour arriver à un spectacle ciselé, accompagné d’une musique complice. Il se définit parfois lui-même comme un « passeur ».
Pour en savoir plus, allez voir du côté de www.nombril.com ou www.yannickjaulin.com. Vous ne serez pas déçu ...
Quelle conterie, la vie !
Cela fait plus de 10 ans que l’action Entr’Aide et initiatives locales (CRFA) cultive un jardin en bordure de la Chère, au fond de l’impasse des Lilas, sur terrain municipal. Après un stage avec « Marie Chiff’Mine » en septembre 2000, le groupe a monté un spectacle « Quelle conterie la vie ! » qui a été joué trois fois au Pays de Châteaubriant en 2001. « J’avais observé plusieurs fois une grande richesse orale des personnes, aussi bien dans l’agencement des phrases que dans la poésie des images, dans la subtilité des interprétations, dans l’utilisation de l’humour et de tout un patrimoine en langue gallèse » dit Eric Papion animateur du CRFA.
Par la suite, le projet du groupe fut de rénover le vieux lavoir jouxtant le jardin. La ville de Châteaubriant a fourni les matériaux (sable, graviers, pierres bleues) et l’équipe a rénové le lavoir « au rythme tranquille du temps qui passe ».
Depuis trois ans, autour de ce « lavoir des racontars » est organisée, chaque année, une veillée, scène ouverte à tous, chanteurs, musiciens, poètes, conteurs et diseurs. « Nous souhaitons mieux structurer ces animations, en créant un partenariat avec la ville, pour organiser une veillée par mois, l’été » dit le groupe. La venue de Yannick Jaulin est un encouragement.
Vannerie
Dans la ronce, le pain
Dans la fougère, la faim
Explication donnée par Yvonne, une des « élèves » : la ronce pousse là où la terre est bonne, contrairement à la fougère.
Rendez-vous était donné à Lusanger au village de la Chaussée pour découvrir l’activité vannerie proposée par le CRFA (Centre Régional de Formation et d’Animation).
L’activité en est à sa 4e saison et soixante « élèves » de tous âges s’y côtoient (de 13 à 80 ans environ). Les « maîtres » sont présents pour guider dans l’apprentissage de la fabrication des différents objets : ici un panier, là une corbeille (ou gède en gallo) et différents matériaux : ici de l’osier pour les paniers et là de la ronce (eh oui !) pour les corbeilles. CRFA voir UFCV
Temps estimé pour la fabrication d’une corbeille : trois jours. Et c’est là que nous retrouvons les plaisirs d’antan (sans nostalgie) : la lenteur et la convivialité, deux notions bien malmenées dans notre société.
L’ambiance est chaleureuse dans cette maison de campagne autour d’un feu de bois et les échanges sont nombreux.
L’activité a été lancée car la vannerie semblait encore assez vivante dans le pays mais selon l’animateur, Eric Papion, il n’y avait pas de lieu ouvert à tous.
Et l’atelier plaît : les élèves viennent de tout le pays de Châteaubriant et même certains d’Ille et Vilaine.
Les objectifs sont :
– la transmission des savoir-faire des plus anciens vers les plus jeunes
– la valorisation des ressources locales
– la création de lien social entre les différents publics.
Un autre projet en cours : le recensement de tous les vanniers encore en activité.
Exposition ouverte
à tous
Un des aboutissements de l’année est l’exposition qui se déroulera le samedi 26 mars à la salle des menhirs à Lusanger de 14h00 à 19h00. L’entrée est bien sûrgratuite et l’après-midi se fera au son de l’accordéon.
Sont partenaires de cet atelier le club de l’amitié de Lusanger, la communauté de communes de Derval et la municipalité de Lusanger.
Sinon, des soirées conviviales sont organisées régulièrement autour de la parole locale, des histoires...
Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à contacter l’animateur : Eric Papion : 06.88.13.77.19
Petit aparté de Lulu Topie :
La vannerie est-elle une activité qui tendrait vers la décroissance soutenable ?
Eh bien oui, madame, monsieur !Vous savez aussi bien que moi que l’être humain exploite cette planète comme si elle était extensible à souhait. Or elle n’est point. La vannerie, en utilisant des matériaux naturels sans traitement, à part le séchage, et en permettant à chacun de ne plus utiliser de sacs jetables pour faire ses courses permet, non pas de s’enrichir financièrement, mais culturellement et préserve notre environnement.
Pour plus de renseignements, achetez le journal de la décroissance chez votre libraire préféré ou sur internet allez sur www.decroissance.org
Ecrit le 14 septembre 2005 :
UN JARDIN COLLECTIF, EN ATTENDANT
C’est depuis novembre 2001 que l’association Rencontres a sollicité, auprès du maire de Châteaubriant, un terrain destiné à faire des jardins familiaux. Après diverses assurances, elle espérait lancer l’opération au printemps 2004. En fait cela se fera en 2006 seulement, du moins pour la partie « parcelles privées ».
En effet un terrain de deux hectares, situé à La Goupillère, le long de la station d’épuration, a été mis à disposition de l’association en janvier 2005 mais la municipalité poursuit ses discussions avec l’architecte Jérôme Clément de l’association « Le petit coin de terre » : le tracé des parcelles, l’alimentation en eau, la construction de cabanons, rien n’est encore prêt. Les 40 et quelques familles attendront.
Jardin collectif
en route
Cependant, dès 2005, une parcelle de 300 m2 a été mise en culture comme « jardin collectif ». Un chemin empierré permet de couper à travers champs et de relier rapidement le terrain au parking de Super U.
Pourquoi des jardins familiaux ?
La fédération nationale des jardins familiaux (F.N.J.F.), encore appelée « Ligue Française du Coin de Terre & du Foyer » a été fondée en 1896 par l’Abbé LEMIRE et reconnue d’Utilité Publique en 1909. Elle regroupe aujourd’hui plus d’une centaine d’associations et 46 comités locaux. Le mouvement des jardins familiaux concerne 200 000 familles françaises.
Accéder à un lopin de terre pour y produire des légumes frais, partager en famille des moments de détente ... et de culture, échanger les savoir-faire, retrouver un lien avec la terre et sortir des cage-Ã -lapins-hachélèmes. C’est l’un des buts des jardins familiaux. Il s’agit de favoriser l’accès des habitants à un « espace à soi » où l’on cultive ce que l’on veut, en rencontrant des voisins ailleurs que dans les escaliers d’un immeuble collectif.
Le terrain de la Goupillère présente l’avantage d’être situé en bordure d’un chemin ombragé de vieux chênes, à l’ombre desquels ont été installées des tables et des chaises. Le jardin collectif a été financé par la Caisse d’Allocations Familiales, le programme européen Leader+, la mutualité sociale agricole et la fondation de France. La municipalité, en plus de l’attribution du terrain, a rempli régulièrement le réservoir de 200 litres d’eau nécessaire à l’arrosage.
Tomates, poireaux, courgettes, citrouilles, fines herbes, haricots verts, piments, céléri : la culture a été collective le samedi matin, le partage a été équitable. Première approche d’une réalisation attendue pour le printemps 2006 dès que sera finie l’étude de faisabilité commandée par la mairie.
Racontars 2006
Au lavoir des racontars, un petit coin adorable dans l’impasse des Lilas à Châteaubriant, des personnes se sont réunies le 18 juin 2006 pour pique-niquer, échanger des chansons, un air de guitare, un poème ou un conte ...
C’est là qu’a été déployé le drapeau du monde, « qui veut dire amour, respect, tolérance, partage »
Ruralité : Site internet
Maison de la ruralité , site internet : http://lamaisondelaruralite.com/