Mis en ligne le 4 avril 2007 :
Nous sommes tous des cochons
Michel Onfray : rencontre avec Nicolas Sarkozy ... terrifiant
Sarko fait PEUr à 53 % des Français
Rencontre avec NS Sarkozy : effrayant
]
Le dessinateur Placid condamné pour caricature
Le rapport du Centre d’analyse stratégique, sur les nouvelles lignes de fracture en France
Un déjeuner avec Sarko : le texte retiré !
et, dans le même temps, le Nouvel Observateur refuse de parler de la Lettre ouverte à M. le Ministre des Libertés Policières !
Un sac sur la tête, quelle merveille !
Cachez ce suspect que je ne saurais voir !
http://www.homme-moderne.org/societe/politics/tjones/maguerre/extraits1.html
Tous les chiffres du chômage
: les officiels et les autres
http://desmotscratie.blogspirit.com/archive/2006/11/02/tous-les-chiffres-du-chomage.html
L’assassinat sous forme de tableau excel
Palestine : l’horreur
Agressions dans les banlieues
: le rapport de Thierry Gerber
Attention l’article du NouvelObs est très orienté. Il est préférable de lire le rapport.
Que faire
face aux jeunes délinquants
?
La face Karchée de Sarkozy
Sur 128 pages, de la réalité de ses origines familiales à la prise de l’UMP, de son enfance ’difficile’ à ses rapports avec Jacques CHIRAC, de ses premiers pas en politique à ses amitiés médiatiques, de l’élimination féroce de ses rivaux à l’exploitation de sa vie privée, de ses traverséesdu désert à ses ascensions fulgurantes, de BALLADUr à VILLEPIN, du Kärcher aux ’affaires’, ce sont 50 ans de la vie du candidat président qui sont retracés avec minutie et humour. Voir plus loin
Mis en ligne précédemment :
La lettre du préfet de Seine St Denis
Enquête sur le tribunal de Bobigny
11 septembre 2001 : questions gênantes
Le texte du discours du Pape à Ratisbonne
Une bavure est si vite arrivée : voir plus loin
Confidentiel défense : Nous nous n’allons pas nous taire
Contre la censure :
publions le document Confidentiel Defense sur l’EPR
A l’initiative de Greenpeace France et du Réseau Sortir du Nucléaire .
Nous, citoyens, associations, élus, partis politiques
déclarons solennellement être en possession du document
Confidentiel défense
émanant d’EDF et portant sur la résistance de l’EPR
aux chutes d’avion de ligne
que la DST est allé chercher chez Stéphane Lhomme,
porte-parole du Réseau Sortir du nucléaire,
au cours d’une perquisition le mardi 16 mai 2006.
Stéphane Lhomme a été remis en liberté
après plus de 14h de garde à vue
et la DST a procédé à de nombreuses saisies
à son domicile personnel (ordinateurs, téléphone portable...).
Nous publions ce document confidentiel
sur nos sites internet, publications
ou tout autre moyen de rendre public ce document
et encourrons à ce titre 75 000 euros d’amende
et 5 ans de prison.
Ainsi, nous nous élevons
pour que cessent les attaques contre
le droit à l’information des citoyens
dans notre pays et la répression des opposants.
C’est aujourd’hui ceux qui dissimulent les informations
qui devraient être poursuivis.
Nous appelons tous les citoyens à télécharger ce document
et à le publier le plus largement autour de soi.
Contacts presse :
– Stéphane Lhomme (Réseau « Sortir du nucléaire » ) :
06 60 72 09 73 ou 05 57 95 69 33
– Hélène Gassin (Greenpeace) :
06 73 89 23 14 ou 01 44 64 02 05
Alors qu’hier, 16 mai 2006,
le porte parole du Réseau Sortir du Nucléaire, Stéphane Lhomme,
a été arrêté par la DST,
et a passé 14 h en garde à vue ,
son domicile a été perquisitionné
pour y trouver un document
concernant le dossier EPR.
Le document recherché par les services de l’Etat
concerne la capacité de résistance de l’EPR
aux attentats type 11 Septembre.
Il s’agit d’une pièce classée confidentiel défense,
déjà largement exploitée,
citée et censurée lors des débats publics sur l’EPR.
Greenpeace et le Réseau Sortir du Nucléaire
ont décidé à leur tour de publier ce document
et lancent un appel à la publication
pour que cessent les attaques
contre le droit à l’information des citoyens.
Tous s’exposent ainsi à une amende de 75 000 euros
et un risque d’emprisonnement de 5 ans.
Alors même que l’enquête publique sur l’EPR
s’apprête à être tronquée par le gouvernement
puisque programmée avant l’été,
ce nouveau rebondissement atteste d’une volonté
de camoufler les informations les plus fondamentales
aux citoyens. Comment imaginer alors que
la construction de ce futur réacteur
soit demain sans risque pour la population
alors qu’on en dissimule les pièces essentielles
pour en débattre ?
L’association écologiste avait fait déjà
l’objet les 3 et 6 décembre 2005
d’une convocation par la DST pour publication
sur le site www.stop-plutonium.org
d’informations sur les transports de plutonium.
Voici le document Confidentiel défense
émanant de EDF
7 mai : [Pour avoir repris un communiqué CGT,
le collectifBellaciao est attaqué par les Chantiers de l’Atlantique
25 mars 2006 : : « Vous savez, une Black dans le 93 qui se fait interpeller, c’est une gifle. ».
Mais quelques doutes se font jour Lire
Voir la vidéo sur le site de l’Equipe
Un milliardaire en prison
La place des femmes
Les femmes et les prises de décision
Les dernières actualités du « Portail des copains »
Ecrit le 5 juillet 2004 :
Fahrenheit 9/11 :
M. Moore accepte les téléchargements
info extraite de http://www.ratiatum.com
Michael Moore a déjà provoqué une guerre de communication
avec le gouvernement Bush, voilà maintenant qu’Hollywood
pourrait sortir ses propres griffes.
C’est avec son flegme habituel
que le réalisateur du film Fahrenheit 9/11,
récemment primé d’une palme d’or à Cannes,
a soutenu avec force l’idée que les œuvres
étaient faites pour être librement diffusées.
o-o-o-o
C’est une opposition radicale
et peut-être un bras de fer
entre deux générations de professionnels
de l’industrie du cinéma
qui s’opposent désormais autour du
politiquement très controversé Michael Moore.
Michael Moore déclare :
"Est-ce une faute pour quelqu’un
qui a acheté un film sur DVD
de laisser un ami le regarder gratuitement ?
Bien sûrque non.
Ca ne l’a jamais été et
ça ne le sera jamais.
Je pense que l’information, l’art et les idées d
evraient être partagés« , affirmait ainsi le réalisateur dans le Sunny Herald. »Je ne suis pas d’accord avec les lois de droit d’auteur
et je n’ai aucun problème avec les gens qui téléchargent mon film
et le partagent avec les gens
tant qu’ils n’essayent pas de faire du profit
sur mon travail.
Je m’opposeraid à ça", a t-il précisé
dans une conception très copy-left du copy-right.
Extrait de :
http://www.ratiatum.com/p2p.php?article=1582
"Vous savez, une Black dans le 93 qui se fait interpeller, c’est une gifle."
L’amère patrie pour la championne Eunice Barber :
voir l’article de Libération
Mais quelques doutes se font jour Lire
Eunice Barger condamnée :
http://www.france-info.com/spip.php?article219946&theme=9&sous_theme=11
Pas le droit de parler contre la police
Un homme, Brice Petit, se plaint de brutalités policières.
Un autre homme, Jean-Michel Maulpoix, relaie sa plainte sur son blog.
le 28 avril 2004. Brice Petit, le directeur de la revue de poésie Moriturus assiste, en compagnie du poète cédric Demangeot à une interpellation policière très musclée d’un homme sans domicile fixe qui implore qu’on arrête de le tabasser. Choqués, les deux poètes demandent aux policiers d’y aller plus « humainement ». résultat : Brice Petit est embarqué, menotté et fera douze heures de garde à vue pendant lesquelles il ne sera pas ménagé. Au sortir, il écope d’une plainte pour outrage à agent de la force publique en la personne des trois policiers.
Brice Petit enseignant reconnu dans le milieu littéraire décide de relater son arrestation dans un message, véritable appel à l’aide, qu’il envoie à ses amis. Il y joint le texte intégral de la plainte déposée contre lui. Une vingtaine de sites littéraires décident de reproduire l’information sur Internet, avec les noms des trois agents tels qu’ils sont écrits sur le procès verbal. Las, cette réaction citoyenne va provoquer les foudres de la justice qui s’empare de cette erreur.
En effet, l’un des trois policiers tombé par « hasard » sur le site du poète et président de la Maison des Ecrivains, Jean-Michel Maulpoix, où l’affaire est relatée en mentionnant son nom et celui de ses deux collègues, décide de porter plainte pour diffamation contre Brice Petit et... Jean-Michel Maulpoix.
Le 31 août 2005 la sanction tombe : Brice Petit est relaxé au titre de l’outrage. Les nombreux témoignages recueillis ont en effet apporté la certitude qu’il n’avait tenu aucun propos désobligeant contre les policiers. Il n’aurait pas dû subir de garde à vue. Mais la justice condamne en revanche Jean-Michel Maulpoix et Brice Petit à payer 6.000 euros pour diffamation.
En appel, Brice Petit sera totalement relaxé.
Mais la justice condamne le second à 5000 €, pour diffamation.
La diffamation n’est pas la publication de choses fausses. C’est la publication de propos qui peuvent porter atteinte à la réputation de quelqu’un. « si j’écris qu’un tel est un repris de justice quand bien même il aurait été condamné dix huit fois à des peines de prison ferme, je commets une diffamation. Même si c’est vrai. Même si je crois sincèrement nécessaire de porter ces informations à la connaissance publique ».
[Qu’est-ce que la diffamation ? -http://www.tierslivre.net/spip/article.php3?id_article=190]
L’affaire Dreyfus
Chronologie
Les grandes dates de l’affaire Dreyfus. Le capitaine Alfred Dreyfus, officier juif, fut condamné à tort pour trahison au profit de l’Allemagne.
– fin septembre 1894 : découverte du bordereau prouvant la trahison d’un officier français.
– 6 octobre 1894 : Le Service de renseignements français attribue la paternité du bordereau au capitaine Alfred Dreyfus, stagiaire à l’état-major général.
– 15 octobre 1894 : Dreyfus est arrêté pour fait d’espionnage.
– 22 décembre 1894 : Dreyfus est condamné à la déportation à vie.
– 5 janvier 1895 : Image forte qui restera dans l’histoire : la dégradation du capitaine dans la cour de l’Ecole militaire.
– 13 avril 1895 : Le capitaine arrive à l’île du Diable, au large de Cayenne, en Guyane. Son incarcération dure jusqu’en juin 1899.
– Fin mars 1896 : découverte du « petit bleu », un pneumatique révélant une correspondance entre l’attaché militaire à l’ambassade d’Allemagne à Paris et le commandant français Esterhazy.
– 10-11 janvier 1898 : Le procès Esterhazy s’ouvre. Le commandant est acquitté à l’unanimité par le Conseil de guerre.
– 13 janvier 1898 : Emile Zola publie son célèbre « J’accuse ».
Cette lettre ouverte paru dans l’Aurore, dénonce un « crime de lèse-humanité » et de « lèse-justice ». Un mois plus tard Zola est condamné à un an de prison.
– 20 février 1898 : Création de la Ligue des droits de l’homme pour défendre Dreyfus. La France est divisée entre dreyfusards et anti-dreyfusards. Violente montée d’antisémitisme.
– août 1898 : découverte du « faux Henry » : le document qui a fondé la condamnation de Dreyfus a été fabriqué par le colonel Henry.
– 3 juin 1899 : Un arrêt de révision tombe : Dreyfus est renvoyé devant le Conseil de guerre de Rennes.
– 9 septembre 1899 : Dreyfus est à nouveau déclaré coupable. Il est condamné à dix ans de détention. Dix jours plus tard, le président Emile Loubet signe la grâce présidentielle.
– 12 juillet 1906 : La réhabilitation commence. La Cour de cassation annule le second jugement et rétablit Dreyfus dans son grade de capitaine. La Chambre des députés adopte le lendemain un projet de loi élevant Dreyfus au grade de chef d’escadron (commandant).
– 12 juillet 1935 : Alfred Dreyfus décède à Paris
Source : NouvelObs
Dreyfus dans les librairies
12 juillet 1906 : il y a cent ans, était réhabilité le capitaine Dreyfus, injustement condamné pour trahison. A cette occasion, près d’une quinzaine d’ouvrages sortent ou ressortent.
– « Dreyfus est innocent ! Histoire d’une affaire d’Etat » de Vincent Duclert (Editions Larousse) : un album bien illustré, qui reprend l’Affaire de 1894 à la réhabilitation
– « Alfred Dreyfus, L’honneur d’un patriote » (Editions Fayard), Vincent Duclert : Ce spécialiste de l’Affaire a choisi ici de s’intéresser à l’homme. Une biographie sur un homme mal connu.
– « L’affaire Dreyfus » (Editions Flammarion) : un dictionnaire rédigé sous la direction de Michel Drouin. Il n’oublie pas les répercussions sociales et l’impact à l’étranger.
– « Histoire de l’Affaire Dreyfus » de Joseph Reinach, journaliste et député, qui a pris très tôt la défense du capitaine, rééditée dans la collection Bouquins.
– « Dreyfus, un innocent » (Editions Fayard) de Jean-Denis Bredin : sur l’Affaire et un la IIIe République.
– « Cinq années de ma vie (1894-1899) » (Editions La découverte) : un journal écrit par Alfred Dreyfus lui-même.
– « Ecris-moi souvent, écris-moi longuement » (Editions Mille et une nuits) : la correspondance échangée de décembre 1894 à juillet 1899 par Dreyfus, alors au bagne, et son épouse Lucie.
– « Dreyfusards ! » (Editions Gallimard) : les souvenirs de Mathieu Dreyfus, le frère du capitaine.
– « Combat pour Dreyfus » (Editions Dilecta) et « Lettre à la jeunesse ; Lettre à la France » (Editions Stock) : une compilation des textes d’Emile Zola.
– « Justice pour le capitaine Dreyfus ! » (Editions Oskar jeunesse) de Michèle Kahn : destiné aux adolescents, l’intimité du capitaine et de sa famille.
Photos
Voir Le NouvelObs
Jean-Claude et Malika Pondevie : au delà des apparences article déplacé : voir page 497
Combien coûte la guerre en Irak ?
Voir le compteur ci-dessous (en dollars)
Une étrange enquête
Mai 2007 : une étrange enquête médicale