Ecrit le 9 mars 2016
S’interplouf
- Le S’interco
Une suggestion : le terrain de football intercommunal a été nommé S’interco. Ce n’est pas très évocateur. On aurait pu l’appeler S’interbaballe ! Faites travailler vos méninges pour savoir comment nommer la future piscine. Yen a déjà qui proposent : S’interplouf ! Le Conservatoire pourrait s’appeler S’interson et la médiathèque : S’interbook ! Et l’office de Tourisme : S’interOT……. Wahouh !
[Ndlr : l’espace aquatique s’appellera : Aqua-choisel](1)
Ecrit le 30 mars 2016
SAC : la mêlée
27 mars,
Un gros coup de vent
sur le champ de foire
et voilà, les tôles du SAC
sont en mêlée.
A.Borgone
(le SAC est un club de rugby castelbriantais)
Ecrit le 4 avril 2016
24 100 habitants
A Châteaubriant, not’maire l’avait bien dit : la ville va connaître une importante progression de sa population. Nous avons le plaisir de vous annoncer qu’il a eu raison et que la progresion est phé-no-mé-na-le ! Voici quelques lignes parues, dans Ouest-France du 20 avril 2016.
- Ouest-France 20 avril 2016
Mais comment peut-on ainsi doubler ? Le chiffre officiel (2013) est 11 866 habitants.
Ecrit le 18 mai 2016
Carpe Diem
Notre ami Borgone envoie une photo qu’il a intitulée : « carpe diem »
« carpe diem » est une anagramme de « ça déprime »
- Carpe diem
- (Photo A.Borgone)
Carpe diem (quam minimum credula postero). Cette phrase signifie « Goûte le temps présent sans croire au lendemain ». Elle est tirée de vers latins du poète Horace, (mort il y a 2038 ans), dans une ode à une jeune fille nommée Leuconoé.
Borgone dit encore :
- Linky : De rumeurs en démentis, on est loin de l’information.
- De querelles bysantines en palabres de griots, Linky ressemble de plus en plus à une histoire de conteurs.
- Il y a 35 ans, on était lundi, Mitterrand était élu depuis la veille. Quel chemin depuis ! Quelles ornières !
Ecrit le 18 mai 2016
Un premier prix Energie, en boucle
Dans un communiqué, la municipalité de Châteaubriant fait savoir qu’elle a reçu le « Prix des Energies Citoyennes 2016 ». Bravo !
Mais, renseignements pris, ce prix est organisé par ENGIE Cofely et l’un des deux autres lauréats de la catégorie des moins de 20 000 habitants, St-Chély-d’Apcher a, comme Châteaubriant, un réseau de chaleur, exploité par une filiale d’ENGIE Cofely. Voyez comme c’est bien fait : la ville traite avec Cofely et Cofely attribue un prix à la ville ! La boucle est bouclée.
Ce « détail » n’apparaît pas dans le communiqué municipal qui, par ailleurs, met en avant le Conseil Economique et Social Environnemental alors que c’est uniquement le lieu où s’est déroulée la présentation du palmarès. Le jury est certes annoncé indépendant mais pourquoi une communication incomplète ?
Ecrit le 18 mai 2016
Un douanier, ça va, mais deux …
Ben alors, Brice ? On écrase le champignon et on s’en prend aux douaniers témoins de la scène ? Nous sommes dimanche sur l’autoroute A71. Une Peugeot 508 du type véhicule de l’administration (mais genre ‘’carrosse’’ de politiques ou de cadres sup) file à très vive allure, frisant les 170 / 180 km/h sur un tronçon limité à 110 km/h. Des motards des douanes en contrôle rattrapent le véhicule et découvrent, lorsque la vitre fumée s’abaisse, que le Fangio dominical n’est autre que notre bon Brice Hortefeux, ex-« pensionnaire » de la place Beauvau, donc défenseur de l’application des lois et règlements .... y compris routiers ! Le garçon n’a pas l’air effarouché par du « bleu » (l’habitude des escortes motards sûrement ..), car avec deux motards à sa suite, il n’avait en rien réduit sa vitesse.
L’affaire ne semblait pas aller bien loin (les agents des Douanes ne sont pas habilités à relever les infractions au code de la route ....même quand il s’agit d’un délit de très grand excès de vitesse).
Les agents ont tourné les talons, après avoir fait remarquer que, en tant que conduite, il y avait mieux ... dans tous les sens du terme. Ils ont également renoncé à la présentation des papiers, dans la mesure où ils avaient parfaitement reconnu la personne, qui est tout de même vice-président du conseil régional du coin.
L’affaire, au demeurant fort peu glorieuse pour l’homme politique, pourrait s’arrêter là, si l’on n’était pas dans une République où privilèges, castes et autres travers dans le même registre sont toujours d’actualité. En effet, emballement chez le Préfet, direction régionale des Douanes sur le qui vive... Bref, il appartient à ces malotrus d’agents de s’expliquer et se justifier séance tenante. Rendez-vous compte : ces faquins lui auraient peut-être « mal parlé ». (!) « Diantre ! »
La nuit du 4 août ne serait donc pas vraiment passée pour tout le monde ? Hô là, mais fi donc, manants ! Sacrebleu, si les gueux, même revêtus de la livrée d’une compagnie d’arquebusiers du Roy, se mettent à freiner la course des carrosses des gens de haut lignage, où allons-nous ?!? Cela ne serait point possible ! Notre bonne société s’en trouverait c... l par-dessus tête. Vite, le carcan ou la flagellation en place publique pour cette vulgaire piétaille qui oublie qui elle est et surtout à qui elle cause (bien ou mal) »
Paris, le mardi 10 mai 201
Ecrit le 18 mai 2016
Un chaud Baupin
‘’Un chaud lapin’’, l’expression est connue, elle désigne ‘’un homme avide de plaisirs sexuels’’. C’est une expression amusée, presque un compliment. ‘’Un homme, quoi !’’. Il n’est point de compliment du même type pour une femme avide de plaisirs sexuels.
C’est que la femme se doit d’être jeune et jolie, et ‘’à disposition’’. Le droit de cuissage, dont nul n’a trouvé mention dans le droit positif français, n’existe pas, mais la pratique en demeure et plus fréquente qu’on ne croit. Le scandale secoue actuellement le monde politique français : après DSK du Parti Socialiste, c’est maintenant Denis Baupin de EELV (Europe Ecologie les Verts) dont des membres importants de son parti disent : « « on savait que c’était un goujat, voire un goujat important » dit Cécile Duflot en ajoutant : « Des Denis Baupin, il y en a beaucoup, et il y en a aussi beaucoup à l’Assemblée Nationale ». Le comportement de ces hommes n’est pas du badinage, mais bel et bien de l’agression sexuelle. Les faits récemment dévoilés montrent que cela touche tous les milieux [Et même le clergé où certains sont accusés de pédophilie].
Dans tout cela, deux choses sont en cause : d’une part une égalité réelle des hommes et des femmes, d’autre part l’image de la femme. Et on s’étonne de voir que l’État taxe des jeux en ligne mais pas « l’industrie » pornographique.