Nous avions un site internet consacré à l’incendie de l’abattoir Tendriade le 12 septembre 1999 à Châteaubriant. Nous avons dû le fermer suite à une mise en demeure de la société Tendriade (voir ci-dessous).
Les textes sont cependant ici, car ils font désormais partie de l’histoire industrielle de Châteaubriant. Nous n’y mettons nullement en cause la qualité des produits « Tendriade » mais seulement l’attitude de la Direction dans les suites qu’elle a données à l’incendie du 12 septembre 1999.
L’entreprise joue au chat et à la souris
L’entreprise décide de quitter Châteaubriant
La liste des démarches effectuées par la municipalité
La déclaration unanime du Conseil Municipal
Comment acheter l’opinion publique à un prix dérisoire
Un choix difficile pour les salariés
Ecrit le 5 mars 2008
La-tu-lu Lulu ?
Dans son dernier numéro, La Lettre à Lulu, bien renseignée, raconte une mésaventure arrivée à … La Mée.
Figurez-vous que votre journal favori a reçu, le 7 décembre 2007, une lettre recommandée d’un cabinet parisien, avocat de la société Groupe Lactalis. Celle-ci ne souhaite pas que sa campagne de publicité soit « réduite à néant par les répercussions désastreuses que pourraient avoir sur sa clientèle les articles polémiques et dénigrants » publiés sur le site internet qui a été réalisé à la suite de l’incendie du 12 septembre 1999 à Châteaubriant.
En effet, par suite d’un bon référencement, les accroches « le chant des nécrophages », « de la stratégie des peaux de banane », « Tendriade nuisances », « entourloupe en perspective » , arrivaient AVANT le site officiel Tendriade !
Le cabinet d’avocat demandait donc la fermeture de ce site, sous huitaine. Ce qui fut fait … mais … les textes incriminés figurent toujours sur internet. Ils passent cependant après les hachés de veau et les saucisses. Voir ici :
http://www.journal-la-mee.fr/spip.php?article515
On peut y voir aussi le fac-similé de la lettre des avocats .
Tendriade appartient au groupe Lactalis qui est mis en examen pour utilisation d’eau de lavage dans le lait