Salariée, c’était bien, mais j’ai eu envie d’être plus indépendante.
En 1999, M. et Mme Hamon décident d’arrêter leur commerce. Leur fille Carole réfléchit, puis décide de l’acheter.
« Je n’ai pas hérité de mes parents, j’ai acheté le commerce pour ne pas léser mon frère et ma sœur », dit-elle.
Pour cela, elle a monté un dossier de financement, jugé solide par Châteaubriant-Initiative , ce qui lui a permis d’obtenir un emprunt.
Suite à piratage, cet article a été effacé. Il est possible de le retrouver sur la version-papier à la date : septembre 2006.

