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Ecrit le 3 octobre 2007
OTSI ... démoli
Le Syndicat d’Initiative de la Ville de Châteaubriant a été logé au 40 rue du Château jusqu’en juin 1989. Il se trouve maintenant dans la rue de Couë ré. Les anciens bâtiments, qui ont servi un temps de bureaux pour la Com’Com’, ont été démolis le 17 septembre 2007 (c’est là qu’on a vu qu’ils étaient en « carton-pâte » ou presque !).
Le permis de démolir et le permis de construire, obtenus précédemment (avant la mi-février 2002) étant caducs, il a fallu faire une nouvelle demande. résultat : une murette en pierres, couverte d’épaisses plaques de schiste, sera construite, comme sur l’autre côté de la rue. Elle sera surmontée d’une grille et d’une plaque de métal pour cacher le désordre de la cour qui est derrière ! [Mais il n’est plus question de construire un portail sur terrain privé comme c’était le cas en 2002 ! ].
Il reste à souhaiter maintenant que la maison située au nord bénéficie d’un beau ravalement de façade qui mette en valeur l’entrée de la rue du Château, côté Place des Terrasses.
Herbe : mulchons ensemble
On n’arrête pas le progrès ! Tous les jours on apprend des mots nouveaux. Voilà que la ville de Châteaubriant vient d’acheter une mulcheuse. Voui ! Une belle petite machine rouge, avec cabine climatisée et trois unités de coupe indépendantes, souple, maniable, qui se contorsionne pour mulcher tendrement au pied des arbres, au bord des fossés et bien sûrau milieu de la pelouse !
Cette petite bête coupe l’herbe sur 3,35 m de large, à la vitesse de 3 km/h. Elle peut permettre de tondre les 40 hectares d’espaces verts municipaux, en l’espace de 10 jours. Et, à la saison, au bout de 10 jours on r’commence ! Elle tond, elle mulche ! Quoi, vous savez pas : mulcher c’est broyer l’herbe après la tonte ! Chouette non ? Un joli mot à se rouler par terre. coût 66 995 € TTC.
On peut se demander si l’usage d’une mulcheuse ne provoque pas une accélération du feutrage de la pelouse. C’est ce que l’on peut craindre, dit-on, avec une tondeuse normale. Sauf que le gouvernement du Canada soutient le contraire. Les Canadiens, qui s’inquiètent d’abord de la gestion municipale des déchets de tonte, préfèrent le vermicompostage. Et vous, amis lecteurs, qu’en pensez-vous ?
Automne : des feuilles en viajet
Non ! Il ne s’agit pas d’une maison qu’au grand âge on donne en viager pour avoir encore les moyens de vivre !
Le VIAJET est une balayeuse aspiratrice qui vient d’être achetée pour les Services Techniques de la ville de Châteaubriant. Un salarié, à pied, renvoie vers la route les feuilles des trottoirs, à l’aide d’une soufflerie et la balayeuse aspire les feuilles dans les caniveaux à l’aide d’une brosse tournante. Celle-ci peut être appliquée avec plus ou moins de pression pour gober les feuilles, glands et graviers au fond des nids de poules (tiens c’est c’qui faudrait dans la cour de la Maison de Retraite à Châteaubriant, parc de la Lande !).
La machine est munie, à l’arrière, d’un gros tuyau gris, comme une trompe d’éléphant, qui avale les feuilles et brindilles qui obstruent les avaloirs. C’est une chouette bécane avec « avancement hydrostatique » et « agilité sur tous les itinéraires » [Les machines c’est comme les menus au restaurant : toujours des jolis mots].
Prix d’achat : 143 250 € TTC. ............. Gloups !