Accueil > Châteaubriant > Environnement, écologie, pollution > Environnement > On cherche de l’eau potable
Sommaire
Ecrit le 24 février 2016
On cherche de l’eau
Une campagne de recherche en eau est actuellement en cours sur le secteur Nord du territoire du SIAEP du Pays de La Mée.
Afin d’alimenter une partie des communes adhérentes, le Syndicat Intercommunal d’Alimentation en Eau Potable (SIAEP) du Pays de La Mée produit chaque année environ 1,7 Mm³ d’eau potable sur son site de production situé sur la commune de Soulvache.
Afin d’augmenter sa capacité de production et de sécuriser le secteur Nord de son territoire, le SIAEP a récemment démarré une campagne de recherche en eau souterraine sur la commune de Rougé et ses environs. L’objectif est d’identifier une ressource de substitution capable de fournir en continu un volume supplémentaire d’environ 700 m³/jour et de permettre au SIAEP de garantir une continuité de service en cas de problème sur la ressource principale.
Dans ce cadre, un bureau d’étude a été missionné afin de réaliser une étude préalable visant à mettre en évidence différentes zones-cibles présentant un contexte géologique et hydrogéologique favorable et qui pourraient prochainement faire l’objet de travaux de reconnaissance.
Le savez-vous ? Le service de distribution de l’eau potable, assuré par le SIAEP DU PAYS DE LA MEE, gère une population de 26272 habitants sur 22 communes.
Voir présentation au Conseil de développement
Et le Boisonnay ?
Rappelez-vous : au conseil municipal de Châteaubriant, le 25 avril 2012, il a été dit que la ville a fait réaliser une prospection géophysique afin de pouvoir définir s’il y avait présence d’eau pouvant servir à la consommation humaine. Les sondages faits par Veolia étaient, paraît-il, encourageants. Un arrêté du préfet en date du 26 août 2011 autorisait des travaux de forages. au lieu-dit Le Boisonnay. La ville souhaitait obtenir la déclaration d’utilité publique pour, à terme, pouvoir devenir propriétaire des surfaces nécessaires à l’implantation des forages et, éventuellement, de l’usine de traitement.
Et puis ? Rien ! Pas de nouvelles.