Suite à piratage, cet article a été effacé. Il est possible de le retrouver sur la version-papier à la date : mars 2006
(*) ndlr : en somme il a été dit aux établissements publics :
1)- cédez la chirurgie (rentable) au privé, on vous laisse la médecine courante.
2)- On diminue arbitrairement la valeur des autres actes : médecine, soins de suite, prise en charge des personnes âgées.
De nombreux médecins et responsables hospitaliers s’inquiètent des risques de dérives que pourrait entraîner ce système s’il amenait les hôpitaux à sélectionner leurs malades en fonction du coût de leur pathologie.

