Ecrit le 1er juillet 2009
Quand Maïke gueule, Jacques sonne
C’éteu le reutour au calme sur tous les fronts et les meudias alleu partir en vacanwce ben mériteu. Les nouviauw minisses deveu travailleu et la boucleu, Rama Yade faire du sport et surveilleu les vestiaires des sportifs, Rachida, pipeulizeu le parlement européen, Hortefeu, cesseu le feu dans les banlieux, Mam, protégeu les victimes et les bourreaux, Fredo, le mythe errant, rempailleu les artisses déplumeu. Les Versaillais ratireu les tourisses au lieu des zélus de la Nassion. Mon Sarko rabibocheu les Antilles avec sa DomTomeuse toute fraîche et déjà moulue.
Les iraniens qu’éteu pas morts ou disparus deveu reusteu enfermeu chez yeux et cacheu leur téléphone-caméra ; les journalisses étrangeu, renmeneu leur bazar en attendanwt les zévènemenwts
Et v’la-t-y pas le coup de ton-nerre qui secoue toute la pianète et fait chiâleu tous les faons et les fanes : le roi de la pop, le plus granwd, le plus biauw, le plus véreux, vénéreux et vénérien des chanwtous qui clamseu sans préviendre au mitanw de sa vie agiteu (1) !
Frère Jacques, sonnez les mâtines !